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 Chine ancienne

Marcel Baraffe bibliographie

 
Timbre 2
 

Marcel Baraffe Bibliographie

 
Romans historiques, Editions L’Harmattan
Les larmes du buffle, 2001.
Les Fleurs de guerre, 2002.
Les turbans de la révolte, 2003. 
Poussière et santal, chronique des années Ming, 2004.
Contes de la neige et du vide, une énigme à la Cour des Qing, 2007.
 
Romans
Comme une vague inquiétude, Editions L’Harmattan, 2008.
Brume de sang, Editions Orizons, 2009.
Ultiméa, Editions Chloé des Lys, 2010. (Science-fiction).
Par toutes ces nuits sans lune, Editions Chloé des Lys, 2013
Par-delà les jours à venir, Editions Amazon.fr, 2019
 
Nouvelles
Histoires curieuses et édifiantes, Editions Chloé des Lys, 2011.
 
Poèmes
Brisées, autoédition 
 
Présentations
 
Les larmes du Buffle.
1831. Frédéric Beaumont embarque pour l’Asie avec une cargaison de bibles traduites en chinois. Un long voyage vers L’Empire Céleste qu’un pouvoir despotique écrase et isole. Madras, Malacca, Hué, fière de ses palais neufs, et au-delà des Cent Mille Monts, le Yunnan, cette Chine interdite qui le fascine tant.
Il rencontrera l’amour, l’amitié, la misère des hommes, la souffrance des femmes, la haine. Itinéraire merveilleux et tragique dans une Asie de contrastes, et au bout d’un chemin baigné du parfum mortel des grands pavots de l’Inde, le conflit entre deux empires : la première guerre de l’Opium. La colère chinoise contre l’arrogance britannique.
Roman minutieusement documenté et enrichi des témoignages des voyageurs, Les Larmes du buffle est une page émouvante de l’histoire de l’incompréhension des peuples, du rendez-vous manqué des nations.
 
Les fleurs de guerre.
1840. Cette année-là, les habitants des villages au bord du Yangzi ne virent pas passer le bateau des filles des Fêtes de la Lune. Et lorsque le grand fleuve déposa sur ses rives les corps de paysans et de soldats, ils comprirent que l’histoire de leur pays était en train de changer.
La petite Tséou qui n’a plus de rêve ni de corps, Hu le poète, Belle Montagne, l’ermite venu d’au-delà les océans et qui ne quitte plus jamais son rocher... Amitié, amour et mort dans une Chine bousculée par les traités inégaux imposés par les Occidentaux et qui mirent fin à la première guerre de l’Opium. Victoire douteuse qui ne fit qu’attiser la colère des Chinois à l’encontre des envahisseurs mais aussi de la dynastie régnante et de son empereur.
Alors que les étrangers forçaient les portes d’un pays jusque-là interdit, la Chine entrait dans une période de troubles et de rébellions, annonciatrice des grandes révoltes qui allaient la ravager.
 
Les turbans de la révolte.
Milieu du XIXème siècle. Deux hommes se partagent la Chine : Xianfeng, le jeune empereur mandchou, représentant d’une dynastie haïe et Hong Xiuquan, le maître d’école illuminé, porté par les espoirs d’un peuple misérable et opprimé et qui deviendra le souverain du royaume Taiping de Nankin. Episode tragique, sous l’œil avide de l’Occident, de l’histoire d’un pays précipité dans une de ses plus sanglantes guerres civiles.
 
 
Poussière et santal, chronique des années Ming.
Ou l’itinéraire d’un lettré à travers la Chine du XIVème siècle. Sa jeunesse, « les années de miel », dans un pays où gronde la révolte contre l’empereur mongol des Yuan ; sa rencontre avec Luo, présumé auteur du Roman des Trois Royaumes, fresque épique et œuvre fondatrice de la culture populaire chinoise ; et au bout du chemin des répressions, la Cour de Zhu, le fils de paysan, premier empereur de la dynastie Ming, grand réformateur de l’état et grand pourfendeur de lettrés que le moindre écart condamne.
Une chronique des premières années Ming, années de lumière et d’ombre jaillies d’un paysage peint, taches d’arbres et quatre murs blancs, troqué dans une rue de Pékin, un jour de printemps 1966.
 
 
Conte de la neige et du vide, une énigme à la Cour des Qing.
Que cherche au-delà de la mort, cet homme marchant vers les monts lointains de l’Ouest de la Chine ? N’est-il pourtant pas dit qu’une nuit d’hiver, on retrouva son corps sans vie, recouvert de neige ? Que fuit-il ? Et qui est cet autre moine, plus maigre et plus jeune encore, attaché à ses pas ? Il arrive parfois que la légende lève le voile sur une énigme de l’Histoire bien mieux que les versions officielles nourries aux sanglantes intrigues des palais où règne un empereur encore enfant.
Conte de la neige et du vide, un récit étrange dans une Chine bouleversée une nouvelle fois, avec l’arrivée des mandchous, par un changement de dynastie, mais aussi un parcours à fouler de l’œil où, décors tendus sur les murs du passé, sont alignées les œuvres des grands peintres d’estampes.
 
Comme une vague inquiétude
 
Le poids de la ville, de sa brume, de sa nuit, ne pèse plus sur ses épaules. Il vient de franchir la paroi métallique d’une des conduites du musée-usine : et de l’autre côté, un monde étrange peuplé de personnages qu’il connaît bien, puisqu’il les a créés : Utopia ? Anthropia ?... Il ne sait plus. Il ne sait pas encore. Et pendant ce temps, une histoire parallèle qui n’aura pas d’autre objet que de rejoindre l’autre : un conte sur la répression des peuples, avec son tyran, son armée de norrmateurs et ses infranautes opprimés. Rêve ? Cauchemar ? Délire  Folie ? Mais alors, pourquoi cette vague inquiétude et cette douleur à l’oreille, bien réelles et toujours présentes des premières à la dernière page, celle qu’il faut atteindre pour que tout devienne évident ?
Ainsi, au-delà de cette fiction, de ce qui pourrait n’être qu’un jeu littéraire autour de la rencontre d’un auteur avec ses personnages, cette histoire obscure ne serait faite que de la superposition de différents plans transparents et n’aurait pas d’autre ambition que d’évoquer le diffus malaise de l’individu confronté aux agressions de forces aussi sournoises qu’efficaces dans leur recherche de nouvelles formes d’aliénation.
 
Brume de sang.
Que n’a-t-on pas dit de Li Po au cours de ces treize siècles qui nous séparent de lui ? L’un juge que sa réputation est un accident. Un autre loue l’originalité de sa poésie. Mais qu’importe ! Ce fascinant menteur, avec son épaisseur d’homme, n’avait que quelques pas à franchir pour devenir le personnage d’une histoire totalement imaginaire. Car il ne faut pas s’y tromper, Brume de sang n’est pas une biographie, c’est un roman où, comme dans la plupart des romans, tout, ou presque tout, est faux. Son premier faux enterrement est faux, le second aussi...
Finalement, n’y a-t-il pas là, pour le lecteur, un moyen plaisant (bien qu’il soit beaucoup question de sa mort) de partir à la rencontre de l’un des plus grands poètes chinois de tous les temps ?
 
 
Ultiméa (roman de science-fiction)
A l’autre bout de l’évolution (enfin) achevée, aux frontières de l’immortalité, il est des créatures suprêmement intelligentes, à peine plus lourdes qu’une bulle de gaz et dont l’absence de masse leur permet de se déplacer à des vitesses proches de celle de la lumière. Elles parcourent inlassablement l’univers, explorant les mondes des galaxies les plus lointaines pour y trouver d’improbables formes de vie : quelques cellules  gigotant dans leur soupe primitive. Bien maigre récolte ! Jusqu’au jour où...
Ultiméa, un roman de science-fiction inspiré de spéculations scientifiques ou quand la créativité sans limites ouvrant vers les univers inconnus et les temps futurs devient un moyen efficace pour regarder et voir notre propre monde, sans complaisance. Surprenant et souvent dérangeant !
 
 
Histoires curieuses et édifiantes (nouvelles)
Ces histoires curieuses et édifiantes auraient-elles pour objet de renseigner sur le côté caché et mauvais des choses et même de dissiper toute illusion, les dernières surtout ?
Un ancien trader cherchant sa reconversion, dépense son énergie et sa fortune pour tenter de comprendre d’étranges phénomènes auxquels personne sur terre ne semble échapper. Quel choix devra faire Emilio après la faveur que vient de lui accorder un bien curieux personnage ? En pénétrant à l’intérieur d’un bâtiment administratif pour défendre son bon droit, Antoine n’a aucune idée de ce qui l’attend... Ainsi s’enchaînent ces douze histoires inspirées de faits actuels, récents et même à venir. Et sous l’éclairage de l’humour et de l’étrange, l’agitation de nos petites sociétés humaines déclinantes.
 
Par toutes ces nuits sans lune (roman)
Chine. Début du 19ème siècle. Mais qu’importe le lieu ! Qu’importe l’époque ! Par toutes ces nuits sans lune est le roman de l’enfance maltraitée ; le drame de l’innocence broyée par les croyances, les superstitions ; les principes et, tapies au plus profond de leur être, les petites et les grandes haines des adultes. Terriblement tragique.
 
Par-delà les temps à venir (roman de science-fiction)
Depuis sa création, l’homme s’était toujours interrogé sur l’origine de l’univers. Il devait cependant accepter l’idée que les mondes étaient condamnés à mourir. Il fallait désormais regarder vers l’autre bout du tunnel et avoir à l’esprit, à présent que les premiers signes d’une destruction à venir étaient là, l’idée que le moment des échéances tragiques approchait. L’important, avec cette implacable certitude n’était plus de savoir d’où nous venions mais afin d’échapper à la menace d’un vide cosmique, de répondre à cette question : « Qu’est-ce qui peut nous sauver ? »
 
Brisées (Poèmes)
Toi, moi.
Et la trace de nos pas sur les chemins du monde.
 
 
 
 
  
 
 
 
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